Mois : août2016

Les camisoles de force (et la liberté)

Elle m’a dit qu’elle devait apprendre à s’aimer – oui, il fallait vraiment qu’elle apprenne à s’aimer, car elle sentait qu’elle cherchait l’amour partout sans le trouver. Puis on a parlé de son objectif, et du stress qu’il lui faisait vivre… et elle a lancé qu’elle devait lâcher prise, car elle était trop attachée au résultat. Ça, c’est sans parler de sa pratique de méditation, qu’elle voulait intensifier…

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Droit au but

Je vivais une journée difficile, récemment – vous savez, une de ces journées où les planètes ne sont simplement pas alignées. (J’aime bien blâmer les astres… Ils ne le prennent jamais personnel, et, de toute façon, ils sont trop loin pour s’obstiner!) Quand j’ai pris conscience de mon état, la question suivante m’est venue en tête…

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Le miracle de Justine

«Je suis une enfant adoptée. Ma mère, née dans les années 20, était gauchère. La réputation des gauchers, durant les années 20, n’avait rien de reluisant, puisqu’on les disait animés de la main du diable. Elle a dû développer ses habiletés de la main droite, ce qui était pour elle contre nature. Elle a souffert en silence, toute sa vie, d’être différente…»

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La randonnée et les moustiques

Nous sommes nombreux à aimer marcher en forêt. Nous aimons le silence vibrant, l’effervescence, l’air pur. Nous aimons généralement tout… sauf les moustiques, bien sûr. Oh qu’il est désagréable de se faire grignoter lorsqu’on n’aspire qu’à communier avec la nature! S’ils sont nombreux, on aura parfois même l’impression qu’ils viennent gâcher notre randonnée.

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Le moule

J’aime changer d’air. Après environ trois semaines au même endroit, je commence à avoir envie de battre des ailes et d’explorer un nouvel horizon. Rien ne me fait vibrer davantage que d’explorer, de bouger, de m’imprégner de l’énergie de lieux qui ne me sont pas trop familiers. Je me sens pleinement «moi» lorsque je suis constamment en mouvement.

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Confiance en l’avenir

Je parlais avec ma sœur juste après qu’elle ait appris la nouvelle, et elle partageait avec moi sa déception. Pour elle, c’était «sa» maison; elle adorait son style, sa grandeur, la disposition de ses pièces, ses jolies lucarnes… même le nom de la rue où elle est située! Mais surtout, elle s’y était sentie chez elle dès qu’elle y avait mis les pieds.

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