Mois : septembre2018

L’audace de prendre (et reprendre) sa place

J’ai assisté au spectacle de Paul McCartney à la mi-septembre. Ce fut une magnifique soirée de trois heures, vibrante de joie de vivre et de générosité.

L’homme assis à ma droite filmait beaucoup tout au long de la soirée. Plutôt que de filmer le chanteur et son band sur la scène, il immortalisait un des écrans où on les voyait en format géant.

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Ça ne prend pas deux personnes…

C’est correct de penser que c’est l’autre qui est dans l’erreur, pas nous.

Il y a une idée populaire selon laquelle «ça prend deux personnes pour faire un conflit». Cette pensée est utile, car elle peut certainement être très vraie, et car elle nous ramène à notre part de responsabilité – qui est la seule chose qu’on puisse changer. Et peu importe qui est le responsable, blâmer l’autre ne fait rien avancer.

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Quand les compromis coûtent cher…

Parfois, on se contente de peu en se disant qu’on ne s’en contente pas, qu’on attend simplement d’avoir mieux. Ça nous semble plus simple et confortable d’avoir quelque chose d’insatisfaisant que de s’élancer dans l’inconnu, ou de ne rien avoir rien du tout.

Entretenir la pensée qu’on est prêt à vivre quelque chose de merveilleux, mais sans vraiment casser les liens qui nous attachent aux miettes qu’on reçoit et croit mériter, est une zone dans laquelle on peut rester longtemps.

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