Certains ont à l’intérieur d’eux un jardin qui n’a jamais été arrosé – un petit jardin aux allures de désert, donc, où rien de beau et de nouveau ne semble pouvoir s’enraciner. Ayant eu beaucoup trop lourd à porter, beaucoup trop tôt, ils n’ont l’énergie que pour recracher tous ces mots qu’ils n’ont pu avaler… Pour faire subir ce qu’ils n’auraient eux-mêmes jamais dû endurer.
