J’avais le visage couvert de larmes et je sanglotais comme une enfant. La douleur était intense… mais je ne disais rien, je la laissais continuer. Je pensais au président américain, qui disait alors vouloir rétablir l’usage de la torture, et je sentais une solidarité encore plus grande envers ceux qui en sont victimes. Oh, mais je n’étais pas en train de préserver un secret national…
